Le dessin de presse au service des droits de l’homme
Que représente pour le Département fédéral des affaires étrangères un projet tel que le projet « Plumes Croisées » ?
Du point de vue du Département fédérale des affaires étrangères (DFAE), le projet « Plumes Croisées » véhicule avant tout un message d’espoir. En effet, durant ses différentes éditions, Patrick Chappatte a su rassembler sous sa bannière des caricaturistes issus de tous bords et de tous horizons. Que ceux-ci fassent partie de la majorité ou de la minorité d’un état, que leurs différences soient ethniques, religieuses ou politiques, tous ont répondu à l’appel de la plume et de la défense des valeurs contenues dans la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Bien que souvent douloureux, les sujet abordés, transcrits sur le papier et finalement transmis au public lors des différentes éditions de « Plumes Croisées » permettent d’opérer un véritable traitement du passé ainsi que de mettre le doigt sur certains problèmes persistants sur le territoire de l’Etat hôte. C’est pourquoi il est important pour le DFAE de s’y associer. C’est notamment en opérant ce travail d’exorcisation par le rire des démons d’une nation que l’on peut arriver à donner de l’espoir à celles et ceux qui en ont le plus besoin, à promouvoir une prise de conscience collective des droits découlant du respect de la dignité humaine ainsi que d’entrevoir une société future reflétant le respect de ces droits.
C’est pour ces différentes raisons que le Département des affaires étrangères est fier d’avoir soutenu « Plumes Croisées », de sa genèse à aujourd’hui, et souhaite une longue vie à un projet qui a su nous faire rire, nous émouvoir et nous faire prendre conscience que la réalité que nous connaissons n’est pas forcément celle d’autrui.
Longue vie à « Plumes Croisées » !
Du point de vue du Département fédérale des affaires étrangères (DFAE), le projet « Plumes Croisées » véhicule avant tout un message d’espoir. En effet, durant ses différentes éditions, Patrick Chappatte a su rassembler sous sa bannière des caricaturistes issus de tous bords et de tous horizons. Que ceux-ci fassent partie de la majorité ou de la minorité d’un état, que leurs différences soient ethniques, religieuses ou politiques, tous ont répondu à l’appel de la plume et de la défense des valeurs contenues dans la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Bien que souvent douloureux, les sujet abordés, transcrits sur le papier et finalement transmis au public lors des différentes éditions de « Plumes Croisées » permettent d’opérer un véritable traitement du passé ainsi que de mettre le doigt sur certains problèmes persistants sur le territoire de l’Etat hôte. C’est pourquoi il est important pour le DFAE de s’y associer. C’est notamment en opérant ce travail d’exorcisation par le rire des démons d’une nation que l’on peut arriver à donner de l’espoir à celles et ceux qui en ont le plus besoin, à promouvoir une prise de conscience collective des droits découlant du respect de la dignité humaine ainsi que d’entrevoir une société future reflétant le respect de ces droits.
C’est pour ces différentes raisons que le Département des affaires étrangères est fier d’avoir soutenu « Plumes Croisées », de sa genèse à aujourd’hui, et souhaite une longue vie à un projet qui a su nous faire rire, nous émouvoir et nous faire prendre conscience que la réalité que nous connaissons n’est pas forcément celle d’autrui.
Longue vie à « Plumes Croisées » !